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1 groove de blancs Africaraïbahia Antilles, de la biguine au ragga Chanteurs de bars. Jean-François Bizot, Loic Dury, réal. Jean-François Bizot, Rémy Kolpa Kopoul, réal. Bintou Simporé, Jean-François Bizot, réal. Jean Rozaud, Jean-François Bizot, réal

200X

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  • Titre:
    1 groove de blancs Africaraïbahia Antilles, de la biguine au ragga Chanteurs de bars. Jean-François Bizot, Loic Dury, réal. Jean-François Bizot, Rémy Kolpa Kopoul, réal. Bintou Simporé, Jean-François Bizot, réal. Jean Rozaud, Jean-François Bizot, réal
  • Titres liés: Collection :Images de la culture Images animées Paris CNC 2002- DVD Histoires de groove Histoires de groove Images animées Jean-François Bizot Paris Centre national de la cinématographie 200X- DVD 1;
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  • Titre de forme: Films documentaires
  • Éditeur: Paris : Centre national de la cinématographie distrib., 200X
  • Sujets: Musique populaire -- DVD -- Antilles;
    Ethnomusicologie -- DVD;
    Musique populaire -- DVD -- Brésil;
    Films ethnographiques -- DVD
  • Notes: Copyright : MCM : Nova production : Mikros image : Radio Nova, cop. 1994-1995
    Version en français
  • Résumé: Indiqué sur la jaquette : 1 groove de blancs : Le groove est-il l'apanage des Noirs ? A ceux qui se posaient encore ce (faux) problème, les réalisateurs répondent par 26 minutes de "groove blanc" bien balancé, de la batterie swing de Gene Krupa, l'une des stars blanches du jazz des années 30 qui énervaient tant Duke Ellington ou Count Basie, aux rythmes funky de Jamiroquai ou des Missionnaires, la formation du français Hervé Krieff. Tout d'abord, qu'est-ce que le groove ? Pour le producteur de rap Bob Power, c'est "la base de la pulsion rythmique". Les Noirs sont-ils les seuls à avoir "le rythme dans le sang" ? Non, répond un élève africain d'Hervé Krieff, cela n'est qu'un cliché, les Noirs ont aussi, parfois, des problèmes de rythme. Quant à Jamiroquai, il expose sa vision du monde dans un langage si "groovy" que son interview est un morceau de choix pour les fans de la jeune star. Le prétexte du "groove blanc" est surtout l'occasion de partager quelques beaux moments de musique, comme ce concert des Missionnaires, un groupe que l'on a rarement l'occasion d'entendre, ou le clip de Sinclair qui, pour ne pas être forcément un des maîtres du groove, n'en est pas moins un artiste injustement négligé.
    Indiqué sur la jaquette : Africaraïbahia : Le titre fantaisiste résume bien le propos de ce reportage : montrer qu'une même inspiration vibre de l'Angola au Brésil en passant par les Caraïbes. Mais conformément au principe de la série, ce numéro met l'accent sur la scène parisienne, avec en vedette les musiciens Lulendo, Bonga, Beethova Obas et surtout le groupe brésilien de Paris, Tupi Nago.L'émission s'ouvre par un boeuf symbolique entre Bonga, grande voix des ghettos d'Angola, le guitariste Tiao (Sebastiao Rocha) des faubourgs de Bahia, et le Haïtien Beethova Obas, lui-même pétri d'influences bossa-nova. Une longue interview des leaders de Tupi Nago, Regina et China, nous guide d'un style à l'autre, d'un continent à l'autre, s'arrêtant ici et là à des oeuvres hybrides, comme la samba-reggae du Jamaïcain Jimmy Cliff, citoyen d'honneur de Bahia. Nous voyons aussi l'Angolais Lulendo chanter une chanson de son répertoire, en compagnie de Regina et d'un percussionniste sénégalais. Les grands moments du film : une version intimiste de "Si", la chanson-phare de Beethova Obas, interprétée à la guitare acoustique, et une éblouissante démonstration de capoeira.
    Indiqué sur la jaquette : Antilles, de la biguine au ragga : Depuis que Miles Davis a inclus un titre de zouk dans son album "Amandla", on ne doute plus de l'universalité de la musique antillaise. Mais que sait-on des autres styles, acoustiques et électriques, campagnards et urbains ? Composé d'interviews, de concerts et d'extraits de clips, ce reportage donne un aperçu des trésors de la musique antillaise. De la mazurka importée aux Antilles par les mercenaires polonais de Napoléon, aux tambours des esclaves africains, en passant par la biguine qui fit fureur dans le Paris de l'entre-deux guerres, le passé musical antillais est glorieux. Pourtant, comme le rappelle Kali dans une longue interview, la musique "live" faillit mourir en Martinique, balayée par le raz-de-marée du disco. Aujourd'hui, c'est la renaissance : on remet à l'honneur les traditions africaines (lewose, belair, gwo ka...) et les groupes de carnaval déplacent les foules. Des musiciens de classe internationale, comme le pianiste de jazz Mario Canonge, mettent leur talent au service du charmeur Ralph Thamar, tandis que de jeunes chanteurs ragga, comme Metal Sound, montent victorieusement à l'assaut de la métropole. Et ce n'est qu'un début...
    Indiqué sur la jaquette : Chanteurs de bars : Depuis deux ou trois ans, de la Bastille à Pigalle, refleurit la mode des chanteurs de bars. Au Petit Centre, au Limonaire, à la Liberté, au Berry, de nombreux groupes réapprennent ce que le show business était en train d'oublier : la performance sans filet. Pour certains comme Charlélie Couture, c'est un choix, pour d'autres une nécessité. Pour tous, c'est l'école de l'émotion et de la proximité. Tandis que les circuits classiques s'alourdissent en équipement et en publicité, beaucoup de musiciens ont pris conscience du fait que le contact avec le public - le contact brut, sans effets de lumière et de son - était irremplaçable. Qu'il s'agisse de placer sa voix ou de tester ses grooves, rien ne vaut le petit bar de quartier, où "ça passe ou ça casse", où l'impact de la musique se lit immédiatement sur les visages. C'est à ce jugement populaire que l'on voit ici se soumettre des groupes français comme MC Relou, les Voleurs de Poules, Yann et les Abeilles, ou européens comme Frogmouth et les Shanakies, venus chercher la chaleur qui manque aux bars d'outre-Manche. Avec en guise de dessert, une étonnante interview chantée de Charlélie, qui s'affirme ici comme le maître du genre.
  • Langue: Français
  • Date d'édition: 200X
  • Desc. matérielle: 1 DVD (26 min x 4) : coul., sonore

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